Une banque panafricaine de soutien à l'agro-alimentaire permettrait de relever les nombreux défis auxquels les exploitants agricoles sont confrontés notamment en matière de fonds de roulement, d'équipements modernes et de trésorerie.
Le financement à moindre coût de l'agriculture faciliterait davantage la productivité en réduisant notamment les frais d'achat des matériels et des intrants. La mutualisation des savoir-faire, le développement des coopératives et l'investissement dans l'agro-alimentaire en plus de la création de labels constituent des axes de travail pour relancer le secteur, alimenter le marché intérieur de 'Afrique et créer des emplois.
Par Darchari MIKIDACHE, économiste et fiscaliste, président du think tank "CEEC"
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Une banque panafricaine de soutien à l'agro-alimentaire permettrait de relever les nombreux défis auxquels les exploitants agricoles sont confrontés notamment en matière de fonds de roulement, d'équipements modernes et de trésorerie. L'agriculture africaine doit dépasser le cadre d'activité familiale et de subsistance, certes essentielle pour se diriger vers une agriculture plus productive et de qualité. Les pouvoirs publics sont invités à augmenter le budget qui lui est consacré en aidant à l'amélioration des rendements agricoles et en soutenant les initiatives privées de locaux dans leurs projets de s'orienter vers une industrie agro-alimentaire. La coopération avec la Chine dans certains pays africains dans le cadre de fermes de formation, de démonstration et d'exploitation agricole est à étudier de près afin d'en tirer les leçons quant au renforcement de la coopération Sud-Sud.
Darchari MIKIDACHE
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