Par Darchari MIKIDACHE
Près de 787000 personnes touchées dans le monde et environ 46 000 victimes du coronavirus covid-19 à la date du 30 mars 2020 frappe l'humanité sans distinction d'origines ou de couleur.
Une telle pandémie devrait obliger les plus hauts responsables politiques des pays et les dirigeants des institutions internationales à une Coordination renforcée en matière de Recherche scientifique et médicale pour la recherche de vaccins et de traitements contre le coronavirus ainsi qu'une ouverture d'espaces de solidarités pour les pays et les populations les plus vulnérables en termes de logistique de matériels de protection sanitaire (masques, gels, accessoires pour lavage des mains, savons et transports et acheminement en eau pour les zones enclavées et périphériques du monde et tests) et d'appareils respiratoires ou de réanimation.
La mise en place de dispositifs coordonnés de soutien médical au niveau international reste indispensable pour sauver les populations les plus démunies et les plus à risque au-delà des mesures déjà mise en œuvre par un saupoudrage financier ou logistique. L'heure est grave. Et il y va de la préservation de l'humanité de tenter au maximum de contribuer à sauver des vies autant que possible. Cela n'empêche pas les dirigeants nationaux d'agir concrètement pour renforcer l'application des mesures barrières et de confinement.
La mutualisation des pratiques et expériences de gestion des épidémies ainsi que la constitution d'espaces de solidarités mondiales au niveau médical et logistique implique une mobilisation générale de tous les gouvernements mondiaux ainsi que les institutions internationales spécialisées et financières. La logique comptable doit accorder la priorité à la sauvegarde du plus grand nombre de populations.
Darchari MIKIDACHE
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