Cela commence par les actes symboliques comme les voyages des présidents et de leurs délégations.
Par Darchari MIKIDACHE, acteur politique
Les voyages du président des Comores M. Azali Assoumani avec une délégation de plusieurs membres de délégation ne sont pas tolérables. Ceux des anciens présidents non plus d'ailleurs. Ce n'est pas parce d'autres personnalités politiques par le passé ont mal agi qu'il faille continuer. La visite du président en France avec une dizaine ou plusieurs politiques parle d'elle-même quant à la nécessité de corriger le tir. Et le mandat de notre président Azali Assoumani, chef d'Etat de tous les Comoriens ne fait que commencer. Nous souhaitons la transparence et une gouvernance exemplaire. Donc on jugera notre président en fin de mandat mais nous en tant que citoyens avons un devoir d'alerte et de propositions. Je ne me sens nullement engagé par ailleurs par les actes des anciens présidents. Ils doivent assumer leurs responsabilités.
Les Autorités publiques doivent s'engager tout acte judiciaire contre les abus quel que soit le camp politique de chacun des responsables publics et élus de la Nation. Et en tant qu'acteur politique, je dénoncerai tout acte que je jugerais contraire à la Nation. Je l'ai fait sous les mandats respectifs des anciens présidents Ikililou DHOININE et Ahme Abdallah SAMBI (-Cf. Mes publications CEEC www.ceec-comores.com et mes publications via le mouvement Shimé), je continuerai encore à le faire. En conséquence, votre argumentation ne m'a pas convaincu. Chacun doit assumer ses responsabilités.
Darchari MIKIDACHE.
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Sites de référence : www.darcharimikidache.com et www.ceec-comores.com